Il a été question au cours de cette rencontre pour les acteurs culturels de discuter autour de l’établissement d’un cadre juridique du statut d’artiste et leurs rôle et missions d’aiguilleur. Au bout de plusieurs échanges une commission a été mise en place.
Les Doyens n’ont pas hésité de présenter au nouveau dirigeant de ce ministère, l’ensemble des difficultés rencontrées dans l’exercice de leur noble fonction.
Cet instant d’échange leur a permis de les énumérer, et de mettre tout en œuvre pour guérir le malaise qui existait dans ce milieu, afin que la vie future de l’artiste ne souffre plus de tels maux.
“Quand on arrive dans un village comme disait le ministre, on s’adresse d’abord aux plus anciens, c’est ce qu’il a fait, je trouve que cela est honorable. La transition va nous permettre de tout refaire, on va s’atteler à tout refaire”, a déclaré l’artiste Martin Ronpavet.
Il s’agira pour la Commission de confectionner un document qui sera présenté au cours des assises à venir pour améliorer la musique gabonaise.
“Elle doit travailler en sous commission, déjà, on doit mettre en place une organisation et elle travaillera sur un certain nombre de texte qui sont devenus caduques et qui méritent d’être revus si nous voulons que le ministère de la culture décolle sur un bon pas”, a déclaré l’acteur culturel Marcel Djabio.
Numériser la culture, la musique gabonaise, trouver des mécanismes pour rendre plus efficace l’industrie culturelle. Mettre en place une Commission d’éthique pour encadrer les droits et devoirs des artistes sont les pistes de solutions pour assainir et redorer